A PIECE OF SHE

A piece of she est un petit bijou ! Conduit par Annika Grill, artiste suédoise installée en France et diplômée des Beaux-Arts, le groupe Annika and the Forest livre un EP de quatre titres aux sonorités électro-pop dans lesquelles on trouve quelques traces de Muse, Portishead, Tori Amos, Kate Bush…Un pouvoir d’évocation déployé à chaque titre, un voyage dans le paradoxe, une oscillation constante entre la terre et le ciel : c’est beau et rare. Attention ! Le risque d’addiction est inévitable.
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FESTIVAL DES OPÉRAS TRADITIONNELS CHINOIS

L’Opéra Chinois à l’honneur à Malakoff

L’Occident a peut-être les textes théâtraux et la dramaturgie, tandis qu’en Orient on monte toujours les mêmes textes sur la scène mais leur patrimoine artistique se situe dans l’art de l’acteur, dans la façon de dire et non pas dans ce qui est à dire. Autrement dit, les occidentaux répondent à la question «comment écrire le théâtre», , et les orientaux montrent «comment jouer au théâtre», ce qui a particulièrement séduit de grands dramaturges du théâtre européen. Continuer la lecture de FESTIVAL DES OPÉRAS TRADITIONNELS CHINOIS

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SEULAUMONDE

Première pièce de Damien Dutrait, Seulaumonde et une plongée en apnée au cœur de l’humain et du sensible. Une écriture fine, qui s’attarde à déceler l’émotion et qui, paradoxalement, prend en gravité à mesure qu’elle explore les petits riens de la vie. Nelson-Rafael Madell, pour qui ce monologue à trois personnages à été écrit, avance comme un funambule des mots sur la corde raide de ce texte dense qui nous remue par la simplicité des questions qu’il pose, livrant une vérité brute, nue, qui résonne avec celle, intime, de tout-à-chacun.

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FINIR EN BEAUTÉ

Pièce en un acte de décès…

Finir en beauté de Mohamed El Khatib est autre chose qu’un spectacle, c’est une plongée dans l’intimité profonde et troublante d’un fils qui est tout à la fois le témoin et l’acteur de la fin de vie de sa mère, atteinte d ‘un cancer. Ce fils c’est bien Mohamed El Khatib lui-même ni plus ni moins qui à l’origine avait eu l’idée d’enregistrer des entretiens avec sa mère pour questionner sa langue maternelle (l’arabe) et son possible passage à la langue théâtrale mais le décès de cette dernière va précipiter cette recherche vers un chemin plus large, celui du « que restera t’il de nous ? », de cette relation mère-fils…  Continuer la lecture de FINIR EN BEAUTÉ

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TE BEIYO EN CONCERT

Te Beiyo, c’est un voyage exquis au pays des mélodies douces et poétiques. Textes ciselés et compositions raffinées, sont servis par une voix feutrée et précise. Entre Norah Jones, Sade, Ayo et Tracy Chapman, Jehanne Gaucher alias Te Beiyo creuse un sillon très personnel et de plus en plus clair au fil de ses collaborations. Une personnalité chaleureuse, authentique et forte qui révèle un talent incontestable. 
Nous l’avons rencontrée en amont du concert qu’elle donnera le 10 novembre 2016 à la Bellevilloise à Paris. Précipitez-vous pour la découvrir! 

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DAMIEN DUTRAIT NOUS PARLE DE SEULAUMONDE

Monologue pour un comédien et trois personnages, Seulaumonde est la première pièce de Damien Dutrait. L’histoire est celle d’un jeune homme que la mort a fauché dans un accident d’avion. Parti trop tôt, Seulaumonde résiste ; ne veut pas partir. Au moment où il doit vraiment le faire, s’engage un bras de fer entre lui et la mort. Il ne peut s’en aller comme ça en laissant derrière lui son père et sa mère à qui il n’a pas parlé, à qui il n’a pas dit les choses importantes. Et surtout en laissant son amour, là, de l’autre coté de la porte. Seulaumonde est un texte d’une extrême finesse touchant droit au cœur, où l’urgence de rattraper les petits rien de la vie qu’on a laissé filer, nous bouleverse par la justesse de ce que ce bonheur qu’on ne cesse de chercher nous aveugle, tant il est là, sous nos yeux. Damien Dutrait nous parle du processus d’écriture et de création de ce texte qui sera présenté au Théâtre de Belleville à Paris du 6 au 22 novembre prochains.

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ON ACHÈVE BIEN LES ANGES (ÉLÉGIES)

À Aubervilliers, dans son magnifique antre, Bartabas et le Théâtre Zingaro reprennent pour ce début de saison, leur toute dernière création, On achève bien les anges (Élégies), une féerie poétique comme sait si bien les concevoir le maître du théâtre équestre, créée en juin 2015 au festival des Nuits de Fourvières à Lyon. Continuer la lecture de ON ACHÈVE BIEN LES ANGES (ÉLÉGIES)

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CAUBÈRE À L’ATHÉNÉE

Ferdinand n’a pas vieilli…

Lorsque l’acteur, désormais mythique, Philippe Caubère remet un pied sur la scène c’est forcément un événement. Et un événement de taille : redonner pendant un mois et demi La Danse du Diable, son premier et incroyable seul en scène et Le Bac 68, la réinvention de l’un des épisodes de L’homme qui danse. Il choisit de remonter sur la scène du beau théâtre de l’Athénée qui lui a souvent porté bonheur et qui sort tout juste de sa rénovation flamboyante. Dans son sillage, il embarque Clémence Massart, l’une de ses inspiratrices, ex-compagne de vie et toujours de route du comédien, qui rejoue quand à elle L’ Asticot de Shakespeare, dans la toute nouvelle salle haut perchée de l’Athénée. Continuer la lecture de CAUBÈRE À L’ATHÉNÉE

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L’OPÉRA DE QUAT’SOUS

« Les mendiants mendient, les voleurs volent, les putains font les putains… »

Comme on ne change pas une équipe qui gagne, revoilà réunis sur le plateau du Théâtre des Champs-Elysées (mais toujours dans la saison du Théâtre de la Ville) deux grands monuments du théâtre : Bob Wilson, le metteur en scène américain, maître du formel et le Berliner Ensemble, la fameuse troupe allemande créée par Bertolt Brecht dans les années 40. Et cette fois-ci, ça tombe bien, puisque c’est L’Opéra de Quat’sous, l’une des œuvres majeures du dramaturge allemand que Robert Wilson choisit de redonner. Continuer la lecture de L’OPÉRA DE QUAT’SOUS

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ERZULI DAHOMEY, DÉESSE DE L’AMOUR / Nelson-Rafaell Madel / Prix Théâtre13-jeunes metteurs en scène

           Second spectacle présenté au Prix Théâtre 13 –Jeunes metteurs en scène, Erzulhi Dahomey, Déesse de l’amour est un texte de Jean-René Lemoine mis en scène par Nelson-Rafaell Madel.
Ce texte raconte la rencontre de deux femmes que tout oppose : Victoire et Félicité. Chacune vient de perdre un fils. Félicité vient réclamer à Victoire le corps de son fils alors que le fantôme de celui-ci hante la maison de Victoire. Oscillant entre fantastique, humour, absurde et poésie, le texte relate la trajectoire intime et humaine de deux femmes en résonnance avec la grande Histoire.

      Nelson-Rafaell Madel est comédien et metteur en scène. Il est originaire de Martinique et s’est formé auprès de Yoshvani Médina, metteur en scène cubain puis auprès de Claude Buchvald à Paris. Il fonde la compagnie Théâtre des Deux Saisons en 2007 au sein de laquelle il met en scène P’tite Souillure de Koffi Kwahulé en 2013, Nous étions assis sur le rivage du monde, de José Pliya en 2014. Il a été assistant à la mise en scène de Claude Buchvald, Pierre Guillois, Marie Ballet. En tant que comédien, il a joué sous la direction de Yoshvani Médina, Claude Buchvald, Pierre Guillois, Naidra Ayadi, Marie Ballet, Evelyne Torroglosa, Sandrine Brunner, Paul Nguyen, Néry Catineau, Stella Serfaty, Margaux Eskenazi, Damien Dutrait. Il est également membre fondateur du collectif La Palmera.

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AU COEUR DU SPECTACLE VIVANT